… je me contentais d’identifier les gens et les étapes. Mais cette année j’ai pu aller plus loin : j’ai appris à voir si ce qu’ils faisaient était efficace, si ça collait avec leurs objectifs et quel était leur impact global. Je suis passé de la simple observation à une analyse plus structurée et logique. Ça m’a aidé à comprendre comment une organisation s’organise, anticipe les problèmes et s’adapte.

Pour ça, j’ai utilisé des outils comme l’analyse SWOT et la méthode PESTEL. Ça m’a aidé à me poser les bonnes questions et à comprendre ce que les chiffres voulaient dire.

J’ai eu plusieurs expériences concrètes pour développer cette compétence. Par exemple, j’ai fait un projet avec une association où j’ai réalisé un diagnostic stratégique complet. L’analyse SWOT m’a permis de voir ce qui allait bien ou moins bien en interne (les ressources humaines, le financement, le matériel, etc.), et la méthode PESTEL m’a donné une vue d’ensemble des facteurs externes qui pouvaient influencer l’association (l’économie, les changements sociaux, les règles, etc.). On a aussi travaillé sur une entreprise fictive où on a évalué l’impact de son activité sur le développement durable. En créant des tableaux de bord et en croisant des indicateurs économiques, sociaux et environnementaux, on a pu voir les effets concrets de nos décisions sur la performance globale. J’ai compris que la performance, ce n’est pas juste le chiffre d’affaires mais aussi la façon dont les actions sont durables. Ça me montre que je peux penser aux impacts plus larges, ce qui est super important aujourd’hui. Enfin, j’ai fait une étude de cas sur une vraie entreprise où j’ai appliqué des outils stratégiques pour comprendre leurs choix et voir si leurs processus internes étaient pertinents.

Tous ces exercices m’ont aidé à bien structurer mes analyses, à prendre du recul et à trouver des pistes pour améliorer les choses. Cette compétence a changé ma façon de voir les entreprises. Je suis passé de juste décrire ce que je voyais à une vraie évaluation, basée sur des données et qui cherche à être efficace. C’est cette façon de faire que je veux continuer à développer quand je serai en entreprise.

… et voir comment ils influencent les choix d’une entreprise. Je suis passé d’une attitude passive à une approche active : décortiquer les infos, interpréter les indicateurs selon le contexte, croiser les données pour proposer ou soutenir des décisions éclairées. Ça demande de la rigueur, de la méthode, un esprit critique et une bonne compréhension des enjeux.

En analyse financière, j’ai appris à lire et à interpréter les bilans et comptes de résultat. En maths, j’ai approfondi l’utilisation des statistiques. Les cours d’informatique, surtout avec Excel et Access, m’ont permis de bien organiser, automatiser et utiliser des bases de données, ce qui est essentiel pour faire des tableaux de bord fiables. J’ai aussi vu des notions de fiscalité (BIC, BNC) et de contrôle de gestion (méthodes ABC et FIFO) qui sont directement liées aux décisions de tous les jours. Le cours de finance m’a fait découvrir des outils importants pour décider d’investir ou de financer, comme la capitalisation, l’actualisation, la Valeur Actuelle Nette et le Taux de Rentabilité Interne.

Côté pratique, j’ai su utiliser Excel pour automatiser des calculs et Access pour organiser des bases de données. Appliquer la méthode ABC m’a aidé à mieux répartir les coûts et à prendre des décisions. J’ai aussi analysé des états financiers pour faire des propositions budgétaires claires. Par exemple, pour la SAÉ sur l’entreprise fictive de bateaux et de surf gonflables, on a créé des fichiers Excel qui intégraient toutes les infos de performance. Grâce à des formules automatiques on a pu simuler différents scénarios en changeant des paramètres, ce qui nous a permis d’estimer les résultats futurs et de prendre des décisions. 

J’ai aussi développé mon savoir-être : j’ai un esprit critique plus aiguisé, je suis plus autonome et je collabore mieux en groupe. Une autre SAÉ, avec un club de foot local, m’a permis d’organiser des séances de soccer et d’analyser des devis pour choisir la meilleure option en fonction du budget. Ce projet a renforcé mes compétences en gestion de projet, communication et travail d’équipe.

Malgré tout, même si j’utilise bien Excel pour les calculs et les tableaux de bord j’ai eu du mal avec des notions financières plus complexes comme la VAN ou le TRI, parce que je manque d’expérience. Mais je le dis, et je compte redoubler d’efforts pour les maîtriser, surtout pendant mon prochain stage. Ça montre que je sais où je dois m’améliorer et que je suis motivé.

… j’ai approfondi cette compétence. Cela me permet d’être un bon interlocuteur, de créer du lien et de transmettre les bonnes infos au bon moment, avec les bons outils.

Les cours d’expression et communication m’ont appris les différents types de communication (verbale, non-verbale, écrite, formelle, informelle) et m’ont aidé à être plus à l’aise à l’oral. Les langues étrangères m’ont donné du vocabulaire pro pour interagir à l’international. Et la préparation aux entretiens d’embauche m’a montré comment me présenter efficacement et comprendre ce que l’autre attend.

Côté pratique, la SAÉ d’accompagnement d’une association de foot a été une expérience clé. J’ai organisé des échanges avec le président, participé à des réunions et rédigé des mails, des comptes-rendus et des ordres du jour. Ça m’a appris à être clair et structuré pour répondre aux attentes. Produire des documents écrits précis m’a aussi aidé à être plus organisé. J’ai aussi fait un projet de campagne publicitaire en groupe qui m’a permis de développer mes compétences en communication visuelle et orale, et à transmettre un message clair devant un public. Enfin, pendant mon stage de deuxième année a Angelis Conseil, j’ai interviewé des chefs de projets. J’ai appris à adapter ma façon de parler, à poser les bonnes questions et à reformuler pour avoir les bonnes réponses, puis à faire une synthèse de tout ça.

J’ai aussi mis en avant mes qualités humaines : l’écoute active, l’empathie, la patience et la collaboration. Ces qualités sont essentielles pour bien s’entendre et répartir les tâches en groupe.

J’ai également fait des progrès dans la gestion des relations et la participation aux projets de groupe.Ma communication écrite et par mail est un point fort : j’ai appris à avoir un ton professionnel, clair et adapté. 

… à quoi ils servent pour prendre des décisions. C’est essentiel pour ensuite créer des outils de pilotage efficaces. On apprend à décrypter comment une entreprise fonctionne à travers ses budgets, ses finances et ses stratégies.

Lors des cours à l’IUT j’ai étudié les coûts complets, les charges directes et indirectes, et des méthodes comme l’ABC pour calculer le coût de revient. En gestion, j’ai appris à faire des budgets (encaissements, décaissements, trésorerie) à partir d’hypothèses. Le cours sur les aléas m’a fait découvrir l’utilisation des probabilités, comme la loi de Wilson pour anticiper les risques comme les ruptures de stock, ce qui renforce l’aspect prévisionnel du contrôle de gestion.

J’ai mis ces connaissances en pratique avec les SAÉ et les devoirs. Grâce à “Shadow”, un logiciel de simulation d’entreprise, on a simulé cinq ans de gestion, ce qui a rendu l’apprentissage concret. Au semestre 4, on a approfondi l’analyse en créant des tableaux de bord pour interpréter les résultats, choisir les bons indicateurs et en tirer des conclusions utiles pour la gestion.

Ces expériences m’ont aidé à développer ma capacité d’analyse, à faire des diagnostics et à poser les bonnes questions sur les problèmes de gestion. Ça a aussi renforcé mes qualités personnelles : la rigueur pour organiser les données, l’écoute et la patience pour comprendre les systèmes, et la curiosité et le bon sens pour raisonner logiquement.

Concrètement, j’ai développé cette compétence à travers plusieurs travaux. Par exemple, pour un projet sur une entreprise fictive, j’ai conçu des tableaux de bord avec Power BI, en mettant en avant des indicateurs clés comme le seuil de rentabilité ou la marge nette, et en intégrant une analyse environnementale. J’ai aussi fait un travail de contrôle budgétaire prévisionnel où j’ai construit tous les budgets d’une entreprise, ce qui m’a fait comprendre la logique des flux financiers et comment anticiper les besoins de financement. Enfin, le cours sur la gestion des aléas m’a permis d’appliquer la loi de Wilson pour évaluer les risques, comme la rupture de stock.

Ces expériences m’ont appris à combiner différents outils, logiciels et connaissances théoriques. 

J’ai beaucoup progressé, même si la théorie des méthodes de calcul des coûts m’a parfois paru complexe. J’ai bien réussi la partie budgétaire, mais j’ai encore du mal à comprendre quand et comment appliquer certaines méthodes comme l’ABC.

… Le but, c’est de se familiariser avec ces outils pour aider à prendre des décisions, analyser les résultats et, à terme, proposer des pistes d’amélioration. Il s’agit surtout d’observer, d’interpréter et de comprendre le rôle de ces outils dans la gestion de tous les jours.

Pendant les deux semestres, j’ai acquis les connaissances nécessaires. En management des opérations, j’ai étudié la réduction des dysfonctionnements, la division du travail et la gestion du temps. En pilotage de la performance, avec le logiciel comptable SAGE, j’ai appris à enregistrer des opérations et à saisir des écritures comptables. J’ai aussi développé mes compétences sur Excel pour créer des tableaux de bord, des graphiques dynamiques et des indicateurs clés de performance (KPI). Ces cours m’ont été très utiles en stage et pendant mes SAÉ.

Cette compétence m’a demandé de la rigueur et de la méthode, surtout pour manipuler les données et présenter les résultats clairement. Ça a renforcé mon intérêt pour les outils numériques et ma capacité à analyser des situations concrètes. Le travail en groupe a aussi amélioré ma collaboration et ma capacité à adapter mes propositions.

J’ai mis cette compétence en pratique à travers plusieurs activités. La plus importante a été la SAÉ sur la gestion d’une entreprise fictive, simulée sur deux semestres. On a pris des décisions sur 4 ans via des fichiers Excel, en intégrant les données financières. Au semestre 4, on a ajouté un diagnostic global qui prenait en compte le social et l’environnemental. On a utilisé Power BI pour croiser les indicateurs financiers et extra-financiers, en appliquant les principes du pilotage stratégique. Cette capacité à croiser différents types d’indicateurs m’a montré que la performance d’une entreprise, ce n’est pas que le profit.

Les cours spécialisés sur Excel et SAGE m’ont aidé à structurer les infos comptables et à en tirer des éléments utiles pour l’analyse. Avec SAGE, j’ai appris à enregistrer des opérations comptables. Avec Excel, j’ai pu créer des tableaux de bord avec des KPI et développer des outils de reporting. Ces compétences techniques m’ont permis de traiter les données de manière claire et synthétique.

Pendant mon stage a Angelis, au service de contrôle de gestion, j’ai vraiment compris le rôle stratégique de l’analyse de la performance. À partir de leurs bilans, comptes de résultats et données qualitatives, j’ai construit des tableaux de bord avec des indicateurs clés comme la capacité d’autofinancement ou la dépendance aux subventions. J’ai croisé ces analyses financières avec des données humaines pour interpréter les chiffres dans leur contexte social et organisationnel, repérer des petits problèmes et proposer des critères d’alerte. En utilisant Excel, Power BI, j’ai pu aider à optimiser la performance de la structure.

Grâce à ces expériences, j’ai développé cette compétence, en intégrant l’utilisation des outils (SAGE, Excel), la conception de tableaux de bord, l’utilisation de KPI pertinents et l’interprétation des résultats. J’ai aussi compris l’importance de prendre du recul et d’avoir un regard critique.